Sur les camps de déportéessuivi de deux souvenirs plus tardifs et de Rapport sur mon activité de Résistance 1940-1941 / Yvonne Oddon

Libérée du camp de Mauthausen le 22 avril 1945, la bibliothécaire Y. Oddon témoigne de ses conditions de détention le 28 juin de la même année. Ce récit à chaud décrit la souffrance et la vie quotidienne des prisonnières mais également les solidarités qui se nouent et les résistances qui prennent vie dans ce climat d'horreur. Electre 2021la 4e de couverture indique : "Tout compte fait, la cellule constituait certainement l'école de patience la plus complète que l'on puisse imaginer, permettait de découvrir des milieux humains que l'on soupçonnait à peine, des recoins de l'âme qui ne se dévoilent jamais, des extrêmes, dans la grandeur comme dans la bassesse."Sujet - Collectivité: Konzentrationslager Ravensbrück Sujet - Nom commun: Guerre mondiale (1939-1945), Déportations de France | Déportées -- Allemagne 1900-1945 Sujet - Forme: Récits personnels français

Item type | Current library | Collection | Shelving location | Call number | Status | Date due | Barcode | Item holds | |
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Prêt normal | Enssib | Papier | Pôle Les bibliothèques | 020 BIO o (Browse shelf(Opens below)) | Available | 865416E |
Texte d'une conférence prononcée le 28 juin 1945 au Muséum national d'histoire naturelle, Paris
Notes bibliographiques
Comprend le facsimilé du premier numéro de Résistance
Libérée du camp de Mauthausen le 22 avril 1945, la bibliothécaire Y. Oddon témoigne de ses conditions de détention le 28 juin de la même année. Ce récit à chaud décrit la souffrance et la vie quotidienne des prisonnières mais également les solidarités qui se nouent et les résistances qui prennent vie dans ce climat d'horreur. Electre 2021
la 4e de couverture indique : "Tout compte fait, la cellule constituait certainement l'école de patience la plus complète que l'on puisse imaginer, permettait de découvrir des milieux humains que l'on soupçonnait à peine, des recoins de l'âme qui ne se dévoilent jamais, des extrêmes, dans la grandeur comme dans la bassesse."
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