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Technologie et écologie : alliées ou ennemies ?

LivresAuteur secondaire: Mouzon, Céline, 19..-...., postfacier...;Longaretti, Pierre-Yves, 1961-...., auteur en physique de la matière, Collaborateur (sans precision);Berthoud, Françoise, Collaborateur (sans precision);Philibert, Cédric, 1954-...., Collaborateur (sans precision);Carbou, Guillaume, 1987-...., Collaborateur (sans precision);Bihouix, Philippe, 1971-...., Collaborateur (sans precision);Scheidler, Fabian, 1968-...., Collaborateur (sans precision);Berlan, Aurélien, 1976-...., Collaborateur (sans precision);Madaule, Stéphane, 1958-...., Collaborateur (sans precision);Raffinot, Marc, 1947-...., Collaborateur (sans precision);Ferry, Marin, 1988-...., Collaborateur (sans precision);Sene, Babacar, 1976-...., Collaborateur (sans precision);Renaud, Alexandre, 1984-...., Collaborateur (sans precision)Langue: français.Éditeur : Paris : Alternatives économiques, DL 2021Description : 1 vol. (112 p.) ; 24 cmISBN: 2-35240-284-0; 978-2-35240-284-8.Ensemble : ˜L' œEconomie politique (Paris), 1293-6146, 90 (2021)Résumé :
Un dossier consacré aux conséquences écologiques des nouvelles technologies. Si le capitalisme, via sa logique d'accumulation, a été un incroyable facteur accélérateur du progrès technique, il met en branle, sur le plan environnemental, des bouleversements qui s'auto-alimentent. ­Electre 2021la 4e de couverture indique : "aLa grande illusion : Difficile de nier le défi que représentent aujourd‘hui les questions climatique et environnementale. Si le constat est connu, les avis divergent sur la réponse à y apporter. Les camps en présence paraissent antagonistes, et la caricature est tentante. Il y aurait d’un côté le fameux « modèle Amish » vilipendé par Emmanuel Macron; de l’autre, les partisans de la croissance verte. La voix de la raison est sans doute la voie médiane. Mais nous en sommes très éloignés. Nous continuons de vivre dans le paradigme de la croissance : la 6G est dans les tuyaux, des robots pollinisateurs sont créés pour pallier la disparition des abeilles et la course à la colonisation de l’espace a démarré. Ce n’est pas de la science-fiction, c’est la réalité. Dans un tel paradigme, les gains d’efficacité ne se traduisent pas par une baisse des impacts environnementaux; ils sont annulés par les effets rebond. Quant à la promesse d’un découplage absolu, et pas seulement relatif, elle reste hypothétique. Tant que le débat sur la place de la croissance n’aura pas été engagé, le fond du problème demeurera occulté.La technologie n’est pas neutre, elle transforme nos modes de vie. Le capitalisme et sa logique d’accumulation ont été de formidables accélérateurs du progrès technique. Sur le plan environnemental, ils ont mis en branle des bouleversements qui s’auto-alimentent. L’idée que le capitalisme pourrait demain mettre sa puissance d’innovation au service d’une économie soutenable n’est qu’une grande illusion. Pour bifurquer, nous n’aurons pas d’autre choix que de faire preuve de « techno-discernement » et de nous interroger non seulement sur comment produire, mais aussi sur quoi produire."
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Notice rédigée d'après la page de couv

N° de : "L'économie politique", ISSN 1293-6146, (2021)n°90

Notes bibliogaphiques. Bibliographies en fin de chapitres.

Un dossier consacré aux conséquences écologiques des nouvelles technologies. Si le capitalisme, via sa logique d'accumulation, a été un incroyable facteur accélérateur du progrès technique, il met en branle, sur le plan environnemental, des bouleversements qui s'auto-alimentent. ­Electre 2021

la 4e de couverture indique : "aLa grande illusion : Difficile de nier le défi que représentent aujourd‘hui les questions climatique et environnementale. Si le constat est connu, les avis divergent sur la réponse à y apporter. Les camps en présence paraissent antagonistes, et la caricature est tentante. Il y aurait d’un côté le fameux « modèle Amish » vilipendé par Emmanuel Macron; de l’autre, les partisans de la croissance verte. La voix de la raison est sans doute la voie médiane. Mais nous en sommes très éloignés. Nous continuons de vivre dans le paradigme de la croissance : la 6G est dans les tuyaux, des robots pollinisateurs sont créés pour pallier la disparition des abeilles et la course à la colonisation de l’espace a démarré. Ce n’est pas de la science-fiction, c’est la réalité. Dans un tel paradigme, les gains d’efficacité ne se traduisent pas par une baisse des impacts environnementaux; ils sont annulés par les effets rebond. Quant à la promesse d’un découplage absolu, et pas seulement relatif, elle reste hypothétique. Tant que le débat sur la place de la croissance n’aura pas été engagé, le fond du problème demeurera occulté.La technologie n’est pas neutre, elle transforme nos modes de vie. Le capitalisme et sa logique d’accumulation ont été de formidables accélérateurs du progrès technique. Sur le plan environnemental, ils ont mis en branle des bouleversements qui s’auto-alimentent. L’idée que le capitalisme pourrait demain mettre sa puissance d’innovation au service d’une économie soutenable n’est qu’une grande illusion. Pour bifurquer, nous n’aurons pas d’autre choix que de faire preuve de « techno-discernement » et de nous interroger non seulement sur comment produire, mais aussi sur quoi produire."

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Koha version 24.05

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