Le musée disparu : enquête sur le pillage d'oeuvres d'art en France par les nazis / Hector Feliciano ; traduit de l'espagnol (Porto Rico) par Svetlana Doubin

Enquête d'investigation sur le pillage d'oeuvres d'art auquel se sont livrés les nazis durant la Seconde Guerre mondiale, principalement en France, mais aussi en Belgique et aux Pays-Bas. Ce livre porte sur la spoliation de collections privées appartenant à des familles ou des marchands d'art juifs, ainsi que sur la dispersion de ce trésor après-guerre. Edition enrichie de découvertes récentes. [Electre 2021] "Printemps 1940 : au fur et à mesure de la progression de la Wehrmacht sur le territoire français et à partir de listes établies bien avant le déclenchement de la guerre, des services nazis de confiscation, spécialement institués, entreprennent le pillage de milliers d'oeuvres d'art. Sur ordre direct de Hitler ou du haut-commandement nazi, des collections privées d'un immense renom - celles des marchands Paul Rosenberg et Bernheim-Jeune, des banquiers David-Weill, de la dynastie Rothschild, de la famille Schloss, du collectionneur Alphonse Kann ou du financier Fritz Gutmann - disparaissent. Elles sont envoyées en Allemagne comme, tout le temps de l'Occupation, des collections publiques mais aussi des millions de livres, manuscrits, meubles et objets de valeur, volés méthodiquement ou fortuitement par les officiers et les soldats. Nombre n'ont aujourd'hui encore pas été retrouvés.Car le pillage s'opère souvent avec l'aide active de marchands et de commissaires-priseurs français. Après-guerre, les oeuvres qui n'avaient pas été détruites dans les combats n'ont pas été restituées à leurs propriétaires, du fait de la complaisance ou de la négligence de maisons de vente aux enchères, voire de conservateurs de musée peu regardants sur l'origine des tableaux ni leur brusque réapparition sur le marché. Feliciano, dans ce récit des vols et cette enquête sur la trace de certaines oeuvres, met à nu le système international qui s'est longtemps nourri de ces spoliations." [4è de couv]Sujet - Nom commun: Guerre mondiale (1939-1945), Confiscations France | Trésors artistiques durant la guerre -- France 1900-1945 | Vol d'oeuvres d'art -- France 1900-1945

Item type | Current library | Collection | Shelving location | Call number | Status | Notes | Date due | Barcode | Item holds | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Prêt normal | Enssib | Papier | Pôle Métiers du livre et de la culture | 069 GES f (Browse shelf(Opens below)) | Available | Conseillé par les enseignants de l'Enssib | 9138871 |
Traduit de : "El museo desaparecido"
Autre tirage : 2014
Notes bibliogr.
Enquête d'investigation sur le pillage d'oeuvres d'art auquel se sont livrés les nazis durant la Seconde Guerre mondiale, principalement en France, mais aussi en Belgique et aux Pays-Bas. Ce livre porte sur la spoliation de collections privées appartenant à des familles ou des marchands d'art juifs, ainsi que sur la dispersion de ce trésor après-guerre. Edition enrichie de découvertes récentes. Electre 2021
"Printemps 1940 : au fur et à mesure de la progression de la Wehrmacht sur le territoire français et à partir de listes établies bien avant le déclenchement de la guerre, des services nazis de confiscation, spécialement institués, entreprennent le pillage de milliers d'oeuvres d'art. Sur ordre direct de Hitler ou du haut-commandement nazi, des collections privées d'un immense renom - celles des marchands Paul Rosenberg et Bernheim-Jeune, des banquiers David-Weill, de la dynastie Rothschild, de la famille Schloss, du collectionneur Alphonse Kann ou du financier Fritz Gutmann - disparaissent. Elles sont envoyées en Allemagne comme, tout le temps de l'Occupation, des collections publiques mais aussi des millions de livres, manuscrits, meubles et objets de valeur, volés méthodiquement ou fortuitement par les officiers et les soldats. Nombre n'ont aujourd'hui encore pas été retrouvés.Car le pillage s'opère souvent avec l'aide active de marchands et de commissaires-priseurs français. Après-guerre, les oeuvres qui n'avaient pas été détruites dans les combats n'ont pas été restituées à leurs propriétaires, du fait de la complaisance ou de la négligence de maisons de vente aux enchères, voire de conservateurs de musée peu regardants sur l'origine des tableaux ni leur brusque réapparition sur le marché. Feliciano, dans ce récit des vols et cette enquête sur la trace de certaines oeuvres, met à nu le système international qui s'est longtemps nourri de ces spoliations."
4è de couv
There are no comments on this title.