Communiquer, c'est négocier : une théorie politique de la communication, Tome 2 / Dominique Wolton

Dans une époque caractérisée par la montée de l'intolérance et la progression de l'incommunication, malgré la mondialisation des échanges, le sociologue rappelle l'importance de la relation à l'autre et de la négociation. Il appuie sa démonstration sur l'exemple de l'Europe, un territoire constitué de particularismes et qui est parvenu à transformer sa mésentente en espace de liberté démocratique. [Electre] La mondialisation, malgré ses promesses techniques infinies, n’a pas réduit nos difficultés à communiquer. Perdu dans les solitudes interactives, chacun cherche l’Autre, hélas, rarement au rendez-vous. Négocier. Cohabiter. Tout pour éviter l’échec de la communication et le risque de guerre. L’Europe en est la paradoxale illustration. Jamais d’accord, mais toujours ensemble. La communication, on l’a rêvée parfaite, technique et immédiate, elle se révèle fragile, politique et humaine. La communication, au fond, c’est toujours le risque de l’Autre. [4e de couverture]Sujet - Nom commun: Information | Communication, Aspect social | Communication en politique | Communication, Philosophie

Item type | Current library | Collection | Shelving location | Call number | Status | Date due | Barcode | Item holds | |
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Prêt normal | Enssib | Papier | Pôle Information numérique et médias | 008 SCI w (Browse shelf(Opens below)) | Available | 9200847 |
L'auteur a réuni en 3 ouvrages "une synthèse de [s]es recherches sur une théorie politique de la communication dans les sociétés contemporaines."("Penser l'incommunication", p.6). L'ouvrage "Communiquer, c'est négocier" en constitue le tome 2, entre "Informer n'est pas communiquer" (2009, CNRS Editions) et "Penser l'incommunication" (2024, Le Bord de l'eau).
Bibliographies en fin de chapitres. Notes bibliographiques en bas de pages
Dans une époque caractérisée par la montée de l'intolérance et la progression de l'incommunication, malgré la mondialisation des échanges, le sociologue rappelle l'importance de la relation à l'autre et de la négociation. Il appuie sa démonstration sur l'exemple de l'Europe, un territoire constitué de particularismes et qui est parvenu à transformer sa mésentente en espace de liberté démocratique. Electre
La mondialisation, malgré ses promesses techniques infinies, n’a pas réduit nos difficultés à communiquer. Perdu dans les solitudes interactives, chacun cherche l’Autre, hélas, rarement au rendez-vous. Négocier. Cohabiter. Tout pour éviter l’échec de la communication et le risque de guerre. L’Europe en est la paradoxale illustration. Jamais d’accord, mais toujours ensemble. La communication, on l’a rêvée parfaite, technique et immédiate, elle se révèle fragile, politique et humaine. La communication, au fond, c’est toujours le risque de l’Autre. 4e de couverture
P. 7 Introduction. Une théorie politique de la communication P. 13 Chapitre I. Récepteur et altérité P. 75 Chapitre II. Mondialisation, diversité culturelle, traduction P. 125 Chapitre III. La force de l'Europe P. 173 Conclusion. L'indépassable question de l'altérité P. 183 Épilogue. Deux philosophies de la communication
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