Contre-visualités : écarts tactiques dans l'art contemporain / Sara Alonso Gómez et Julie Martin
LivresLangue: français.Éditeur : Toulouse : Éditions Lorelei • C 2022Description : 1 volume (60 pages) :
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17 cmISBN: 978-2-9584193-0-1; 2-9584193-0-4.Collection : Frictions (Paris. 2005), 1776-3746, 3Résumé : Visualité et contre-visualité ont été théorisées par Nicholas Mirzoeff afin de définir les liens entre voir, savoir, pouvoir et croire, croisant l'histoire de l'art avec les études visuelles et culturelles. Les auteures analysent des oeuvres d'art dont les systèmes de visualité sont hérités des mécanismes de domination capitaliste, coloniale et patriarcale. [Electre]Passant l’histoire de l’art au crible des études visuelles et culturelles, cet ouvrage explore les notions de visualité et de contre-visualité. Ces termes introduits par le théoricien des cultures visuelles Nicholas Mirzoeff nouent le voir au savoir, au pouvoir et au (faire) croire. L’analyse des pièces de Betye Saar, Leslie Labowitz-Starus, Coco Fusco et Guillermo Gómez Peña, Hito Steyerl, Joy Buolamwini, et des écrits d’Allan Sekula, permet d’examiner comment certaines œuvres d’art questionnent les systèmes de visualité hérités des mécanismes de domination capitaliste, coloniale, et patriarcale. Ces artistes n’opposent pas terme à terme une visualité à une autre, mais cherchent à produire des écarts tactiques et privilégient une mobilité des points de vue, pour permettre à chacune et à chacun de se construire comme sujet. [4e de couverture]Sujet - Nom commun: Art moderne | Sociologie de l'art | Art, Histoire | Culture visuelle
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| Item type | Current library | Collection | Shelving location | Call number | Status | Date due | Barcode | Item holds | |
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| Prêt normal | Enssib | Papier | Pôle Savoirs | 005 SEM a (Browse shelf(Opens below)) | Available | 9201690 |
Notes bibliogr.
Visualité et contre-visualité ont été théorisées par Nicholas Mirzoeff afin de définir les liens entre voir, savoir, pouvoir et croire, croisant l'histoire de l'art avec les études visuelles et culturelles. Les auteures analysent des oeuvres d'art dont les systèmes de visualité sont hérités des mécanismes de domination capitaliste, coloniale et patriarcale. Electre
Passant l’histoire de l’art au crible des études visuelles et culturelles, cet ouvrage explore les notions de visualité et de contre-visualité. Ces termes introduits par le théoricien des cultures visuelles Nicholas Mirzoeff nouent le voir au savoir, au pouvoir et au (faire) croire. L’analyse des pièces de Betye Saar, Leslie Labowitz-Starus, Coco Fusco et Guillermo Gómez Peña, Hito Steyerl, Joy Buolamwini, et des écrits d’Allan Sekula, permet d’examiner comment certaines œuvres d’art questionnent les systèmes de visualité hérités des mécanismes de domination capitaliste, coloniale, et patriarcale. Ces artistes n’opposent pas terme à terme une visualité à une autre, mais cherchent à produire des écarts tactiques et privilégient une mobilité des points de vue, pour permettre à chacune et à chacun de se construire comme sujet. 4e de couverture
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