Droit(s) et bande dessinée / [sous la direction de] Géraldine Goffaux Callebaut ; avec la collaboration de Catherine Aurérin, Didier Guével et Sylvain Lesage


Item type | Current library | Collection | Shelving location | Call number | Status | Date due | Barcode | Item holds | |
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Prêt normal | Enssib | Papier | Pôle Savoirs | 705 BD d (Browse shelf(Opens below)) | Available | 9204834 |
Ouvrage issu du colloque Droit(s) et bande dessinée organisé le 22 janvier 2021 à Paris par l'Institut de Recherche pour un Droit Attractif (IRDA), le Centre de recherche juridique Pothier (CRJP), l'Institut de Recherches historiques du Septentrion (IRHIS) et la Bibliothèque nationale de France
Notes bibliographiques
La bande dessinée, longtemps cantonnée à la littérature destinée à la jeunesse et considérée comme un art mineur, a, depuis un demi-siècle, obtenu une légitime consécration dans l'univers artistique et dans le monde scientifique. Il s'agit d'un média d'une richesse inégalée. D'abord parce qu'il mêle, de manière sensée et spécifique, deux formes de communication : l'écriture et le dessin. ensuite, parce que la bande dessinée est une oeuvre complexe. Peuvent y contribuer dessinateurs, auteurs, traducteurs, coloristes, lettreurs, éditeurs, chefs de fabrication, imprimeurs... Enfin, parce que cet art, qui sait être tantôt populaire tantôt élitiste, est d'une incroyable diversité, tant dans l'expression par l'image que dans les thèmes traités (mangas, romans graphiques, comics...). On comprend aisément combien, plus qu'ailleurs, le Droit va ici s'immiscer, en aval, dans la mise en oeuvre des rapports complexes entre tous ces arts et entre tous ces intervenants, et en amont, pour régler les éventuels conflits susceptibles de survenir. 4e de couv.
Première partie. L’œuvre et la mise en œuvre Deuxième partie. La diffusion Troisième partie. La patrimonialisation
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