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Droit(s) et street art : de la transgression à l'artification / sous la direction de Géraldine Goffaux Callebaut, Didier Guével et Jean-Baptiste Seube ; [illustration de couverture : JACE]

LivresAuteur secondaire: Goffaux-Callebaut, Géraldine, 19..-...., professeure en droit privé et sciences criminelles, Direct. Publication;Guével, Didier, 1951-...., Direct. Publication;Seube, Jean-Baptiste, 1970-...., Direct. Publication;Jace, 1973-...., IllustrateurAuteur secondaire collectivité: Institut de recherche en droit des affaires, Villetaneuse, Seine-Saint-Denis, 1994-...., ;Centre de recherche juridique, Saint-Denis, Réunion, Langue: français.Éditeur : Issy-les-Moulineaux : LGDJ, une marque de Lextenso, DL 2017Description : 1 vol. (VII-196 p.) : couv. ill. en coul. ; 24 cmISBN: 978-2-275-05711-8; 2-275-05711-0.Résumé : La 4e de couv. indique : "Le street art, ou art urbain, est un courant artistique qui repose sur l'idée que l'artiste plasticien intervient dans l'espace public et sur des supports, publics ou privés, qui ne lui appartiennent pas. Originellement, il s'agit de l'expression d'une revendication de liberté et d'une révolte contre le système marchand et politique et l'artiste entend souvent faire don de son oeuvre à la communauté. La réponse du droit ne fut d'abord que d'ordre pénal. Aujourd'hui, la réception de cet art par les historiens de l'art et par le marché est certaine. Cette évolution invite à dépasser l'appréhension du Street art par le seul droit pénal. Compte tenu du contexte historico-artistique, le street art interroge en effet différentes branches du droit. Une première série de difficultés tient à la qualification de l'intervention de l'artiste : s'agit-il d'un délit de graffiti ou d'une oeuvre de l'esprit ? Faut-il distinguer les graffitis des tags ? Si oeuvre il y a, qui est propriétaire de l'oeuvre : l'artiste ou le propriétaire du support ? Comment s'applique le droit moral de l'auteur pour ces oeuvres souvent anonymes ? Le propriétaire du support peut-il détruire l'oeuvre ou la vendre ? Quelles sont les conséquences du caractère éphémère de l'oeuvre ? Le droit de la propriété intellectuelle permet-il de protéger l'artiste ? Pour répondre à ces questions, sont confrontés les points de vue des parties prenantes et des spécialistes des différentes branches du droit sollicitées par le phénomène. Cette démarche permet de dessiner le statut du street art par touches successives. Cet ouvrage constitue donc la première étude générale sur le sujet initiée par des juristes. Il s'adresse aux étudiants, chercheurs en droit ou en histoire de l'art, artistes et praticiens (avocats, galeristes, OW, agents d'artistes, collectivités territoriales...)."Sujet - Nom commun: Art urbain Droit | Art dans la rue Droit | Esthétique et droit | Art et société Sujet - Forme: Actes de congrès Voir dans le SUDOC
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Prêt normal Enssib Papier Pôle Savoirs 705 ART d (Browse shelf(Opens below)) Available 905298E
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Cet ouvrage réunit les contributions présentées lors du colloque Droit(s) et street art - De la transgression à l'artification, organisé le 14 octobre 2016 par l'Institut de recherche pour un droit attractif (IRDA) de l'Université Paris 13 - Sorbonne Paris Cité et le Centre de recherche juridique de l'Université de la Réunion, en collaboration avec la Bibliothèque nationale de France

LGDJ = Librairie Générale de Droit et de Jurisprudence

Notes bibliogr.

La 4e de couv. indique : "Le street art, ou art urbain, est un courant artistique qui repose sur l'idée que l'artiste plasticien intervient dans l'espace public et sur des supports, publics ou privés, qui ne lui appartiennent pas. Originellement, il s'agit de l'expression d'une revendication de liberté et d'une révolte contre le système marchand et politique et l'artiste entend souvent faire don de son oeuvre à la communauté. La réponse du droit ne fut d'abord que d'ordre pénal. Aujourd'hui, la réception de cet art par les historiens de l'art et par le marché est certaine. Cette évolution invite à dépasser l'appréhension du Street art par le seul droit pénal. Compte tenu du contexte historico-artistique, le street art interroge en effet différentes branches du droit. Une première série de difficultés tient à la qualification de l'intervention de l'artiste : s'agit-il d'un délit de graffiti ou d'une oeuvre de l'esprit ? Faut-il distinguer les graffitis des tags ? Si oeuvre il y a, qui est propriétaire de l'oeuvre : l'artiste ou le propriétaire du support ? Comment s'applique le droit moral de l'auteur pour ces oeuvres souvent anonymes ? Le propriétaire du support peut-il détruire l'oeuvre ou la vendre ? Quelles sont les conséquences du caractère éphémère de l'oeuvre ? Le droit de la propriété intellectuelle permet-il de protéger l'artiste ? Pour répondre à ces questions, sont confrontés les points de vue des parties prenantes et des spécialistes des différentes branches du droit sollicitées par le phénomène. Cette démarche permet de dessiner le statut du street art par touches successives. Cet ouvrage constitue donc la première étude générale sur le sujet initiée par des juristes. Il s'adresse aux étudiants, chercheurs en droit ou en histoire de l'art, artistes et praticiens (avocats, galeristes, OW, agents d'artistes, collectivités territoriales...)."

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Koha version 24.05

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