La question mémorielle au XXIe siècle : jouer éternellement le passé / Charles-Édouard Leroux

La 4e de couv. indique : "C'est dans la manière dont elle constitue son rapport au passé qu'il convient d'apprécier ce qu'une société est capable d'apporter de positif aux individus et aux groupes qui la composent à un moment donné. Pour conjurer la lourde mémoire d'un XXe siècle dont la barbarie fut l'une des plus meurtrières de l'histoire, nous avons inventé le « devoir de mémoire », devenu l'impératif catégorique du demi-siècle qui vient de s'écouler, sans vraiment parvenir à mettre fin aux traumatismes et aux culpabilités dont témoignent les conflits de mémoire. D'où la nécessité, en ce XXIe siècle commençant, de reprendre la question mémorielle, de la ressaisir dans toute son ampleur, d'en faire le lieu des réenchantements possibles, pour autant que nous soyons en mesure de l'appréhender de façon critique. Tant la question mémorielle se révèle riche de promesses..."Une réflexion sur les implications philosophiques et politiques du devoir de mémoire et des lois mémorielles qui régissent la conscience collective depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Pour l'auteur, la question mémorielle telle qu'elle a été posée en réponse aux traumatismes historiques du XXe siècle mérite, en ce début de XXIe siècle, un examen critique de ses limites inhérentes. Electre 2019Sujet - Nom commun: Mémoire collective Philosophie | Conscience historique Philosophie | Mémoire collective Aspect politique

Item type | Current library | Collection | Shelving location | Call number | Status | Date due | Barcode | Item holds | |
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Prêt normal | Enssib | Papier | Pôle Métiers du livre et de la culture | 306 HIS l (Browse shelf(Opens below)) | Available | 910570G |
Notes bibliogr.
La 4e de couv. indique : "C'est dans la manière dont elle constitue son rapport au passé qu'il convient d'apprécier ce qu'une société est capable d'apporter de positif aux individus et aux groupes qui la composent à un moment donné. Pour conjurer la lourde mémoire d'un XXe siècle dont la barbarie fut l'une des plus meurtrières de l'histoire, nous avons inventé le « devoir de mémoire », devenu l'impératif catégorique du demi-siècle qui vient de s'écouler, sans vraiment parvenir à mettre fin aux traumatismes et aux culpabilités dont témoignent les conflits de mémoire. D'où la nécessité, en ce XXIe siècle commençant, de reprendre la question mémorielle, de la ressaisir dans toute son ampleur, d'en faire le lieu des réenchantements possibles, pour autant que nous soyons en mesure de l'appréhender de façon critique. Tant la question mémorielle se révèle riche de promesses..."
Une réflexion sur les implications philosophiques et politiques du devoir de mémoire et des lois mémorielles qui régissent la conscience collective depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Pour l'auteur, la question mémorielle telle qu'elle a été posée en réponse aux traumatismes historiques du XXe siècle mérite, en ce début de XXIe siècle, un examen critique de ses limites inhérentes. Electre 2019
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