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Affaire Aristophil : liquidation en bande organisée / Isabelle Horlans ; préface de Didier van Cauwelaert

LivresAuteur principal: Horlans, Isabelle, 1959-...., AuteurAuteur secondaire: Van Cauwelaert, Didier, 1960-...., postfacier...Langue: français.Éditeur : [Paris] : le Passeur éditeur, DL 2019Description : 1 vol. (334 p.) ; 21 cmISBN: 978-2-36890-691-0.Résumé : Le 9 novembre 2017, le procureur de Paris donne son accord pour que la juge d'instruction Charlotte Bilger propose une procédure dite de « plaider coupable » à Gérard Lhéritier, notamment mis en examen pour « escroqueries en bande organisée », et aux huit autres suspects poursuivis dans « l'affaire Aristophil », afin de clore un dossier qui n'a pas abouti à l'issue escomptée. À ce jour, la justice n'a pas rapporté la preuve que Gérard Lhéritier a échafaudé, via sa société, une « pyramide de Ponzi » visant à escroquer ses clients. Pourtant, depuis près de cinq ans, il est la cible d'articles vindicatifs qui ont ruiné sa réputation, il est affublé du surnom de « Madoff français », ses biens sont saisis, ses comptes bancaires et ceux de sa fille, gelés. À ce désastre personnel s'ajoutent le licenciement de ses 61 salariés et la spoliation des 18 750 clients qui ont vu leurs actifs (lettres et manuscrits) placés sous scellés et aujourd'hui dilapidés à vil prix dans des ventes aux enchères. Le scandale que constitue l'éparpillement des 130 000 pièces de la collection est sans précédent dans l'histoire du patrimoine culturel. La journaliste Isabelle Horlans, qui a étudié le dossier, démontre que Gérard Lhéritier n'a jamais escroqué les acheteurs qui lui ont accordé leur confiance. Depuis 2004, il a multiplié l'acquisition de documents autographes précieux, faisant d'Aristophil un partenaire culturel puissant qui a éveillé la jalousie des uns, l'intérêt des autres. Pendant vingt ans, l'Etat l'a laissé exercer son activité, saluant ses expositions, partenariats et conférences. Présidents de la République, ministres, académiciens, écrivains, personnalités du monde des arts, comédiens, journalistes ont tant cru en lui qu'ils l'ont accompagné durant deux décennies. Plus de 700 articles ont fait l'éloge de ses initiatives. La liquidation d'Aristophil donne désormais lieu à un vaste pillage de sa collection, notamment par les Archives de France [éditeur]Sujet - Collectivité: Musée des lettres et manuscrits, Paris Sujet - Nom commun: Enquêtes criminelles Voir dans le SUDOC
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Prêt normal Enssib Papier Pôle Histoire du livre et des bibliothèques 090 BIB h (Browse shelf(Opens below)) Available 9088211
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La couverture porte en plus : "Contre-enquête sur un scandale judiciaire"

Bibliographie p. [329]-331. Annexes

Le 9 novembre 2017, le procureur de Paris donne son accord pour que la juge d'instruction Charlotte Bilger propose une procédure dite de « plaider coupable » à Gérard Lhéritier, notamment mis en examen pour « escroqueries en bande organisée », et aux huit autres suspects poursuivis dans « l'affaire Aristophil », afin de clore un dossier qui n'a pas abouti à l'issue escomptée. À ce jour, la justice n'a pas rapporté la preuve que Gérard Lhéritier a échafaudé, via sa société, une « pyramide de Ponzi » visant à escroquer ses clients. Pourtant, depuis près de cinq ans, il est la cible d'articles vindicatifs qui ont ruiné sa réputation, il est affublé du surnom de « Madoff français », ses biens sont saisis, ses comptes bancaires et ceux de sa fille, gelés. À ce désastre personnel s'ajoutent le licenciement de ses 61 salariés et la spoliation des 18 750 clients qui ont vu leurs actifs (lettres et manuscrits) placés sous scellés et aujourd'hui dilapidés à vil prix dans des ventes aux enchères. Le scandale que constitue l'éparpillement des 130 000 pièces de la collection est sans précédent dans l'histoire du patrimoine culturel. La journaliste Isabelle Horlans, qui a étudié le dossier, démontre que Gérard Lhéritier n'a jamais escroqué les acheteurs qui lui ont accordé leur confiance. Depuis 2004, il a multiplié l'acquisition de documents autographes précieux, faisant d'Aristophil un partenaire culturel puissant qui a éveillé la jalousie des uns, l'intérêt des autres. Pendant vingt ans, l'Etat l'a laissé exercer son activité, saluant ses expositions, partenariats et conférences. Présidents de la République, ministres, académiciens, écrivains, personnalités du monde des arts, comédiens, journalistes ont tant cru en lui qu'ils l'ont accompagné durant deux décennies. Plus de 700 articles ont fait l'éloge de ses initiatives. La liquidation d'Aristophil donne désormais lieu à un vaste pillage de sa collection, notamment par les Archives de France [éditeur]

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Koha version 24.05

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