La régression du patrimoine : études de cas en Italie et en France / Laurent Sébastien Fournier, Lia Giancristofaro

Les anthropologues font le constat d'une régression des pratiques patrimoniales en France et en Italie. Par ailleurs, ils craignent la réappropriation de ce patrimoine culturel par des militants traditionalistes et conservateurs. Ils invitent les autorités compétentes en politiques culturelles à revaloriser cet héritage dans le respect d'une approche anthropologique. Electre 2020La 4ème de couv. indique : "Après une longue période d'extension du patrimoine vers des éléments de plus en plus diversifiés, il existe actuellement un risque de régression du patrimoine. L'absence d'anthropologues sur le terrain a entraîné la réappropriation de l'anthropologie par des militants traditionalistes qui font des traditions populaires une relecture essentialiste et conservatrice. La perspective proposée ici consiste à utiliser les politiques actuelles du patrimoine pour faire progresser l'anthropologie, plutôt que de simplement accuser ces politiques d'être une force régressive."Sujet - Nom commun: Patrimoine culturel -- France 1990-2020 | Patrimoine culturel -- Italie 1990-2020 Sujet - Forme: Études de cas

Item type | Current library | Collection | Shelving location | Call number | Status | Date due | Barcode | Item holds | |
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Prêt normal | Enssib | Papier | Pôle Métiers du livre et de la culture | 363 PAT f (Browse shelf(Opens below)) | Available | 9127569 |
Bibliographie p. 105-109. Notes bibliogr. en fin de partie
Les anthropologues font le constat d'une régression des pratiques patrimoniales en France et en Italie. Par ailleurs, ils craignent la réappropriation de ce patrimoine culturel par des militants traditionalistes et conservateurs. Ils invitent les autorités compétentes en politiques culturelles à revaloriser cet héritage dans le respect d'une approche anthropologique. Electre 2020
La 4ème de couv. indique : "Après une longue période d'extension du patrimoine vers des éléments de plus en plus diversifiés, il existe actuellement un risque de régression du patrimoine. L'absence d'anthropologues sur le terrain a entraîné la réappropriation de l'anthropologie par des militants traditionalistes qui font des traditions populaires une relecture essentialiste et conservatrice. La perspective proposée ici consiste à utiliser les politiques actuelles du patrimoine pour faire progresser l'anthropologie, plutôt que de simplement accuser ces politiques d'être une force régressive."
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